Les pays européens ont érigé une forteresse tant législative que militaro-policière aux frontières, après des décennies de déstabilisations politiques et de guerres capitalistes et (néo)coloniales.
En Afrique, Moyen-Orient ou encore en Asie la décolonisation n’a signifié que la mutation de leur stratégie pour imposer leur pouvoir. Depuis des décennies les drames se multiplient, et on assiste à une dépolitisation de la question, celle-ci a été transformée en une question morale alors qu’il s’agit d’une question politique.
Ce samedi 5 Septembre, nous nous sommes mobilisées en soutien avec les réfugié·e·s et migrant·e·s, pour dire stop à leur criminalisation, ainsi qu’à la dépolitisation et la récupération par les pompiers-pyromanes : le (néo)colonialisme a tué et tue encore !
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